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Recherches / Projets en cours

Tous les chemins mènent à … Beyrouth

Dans la suite du projet Varsovie s’inscrit Beyrouth, ville elle aussi ravagée par la guerre, et dans laquelle j’ai vécu une partie de mon enfance, et que je ne reconnaitrais plus aujourd’hui.

Ryoko Sekiguchi me vient en aide. Elle écrit : « je n’exagère pas quand je dis que cette ville est hantée par les fantômes. … ceux qui veulent raser les quartiers pour construire des immeubles flambant neufs se trompent sur la nature des fantômes… tant que nous n’effectuerons pas un travail sur notre histoire nous marcherons toujours avec nos fantômes dans le dos ». (961 heures à Beyrouth (et 321 plats qui l’accompagnent), éditions P.O.L., 2021)

Expositions

Atelier BÔ

4bis rue Veillon, 06000 Nice

25 au 30 juin 2022

13h – 18h / dimanche 10h – 12h

Sandra Najem expose

Tous les chemins mènent à … Varsovie

Dans le prolongement de l’exposition de 2019 ça prend aux tripes et donne du vague à l’âme ! dans laquelle j’avais utilisé les champs sémantiques de métaphores, j’explore ici tous les chemins mis bout à bout qu’aurait arpenté un exilé de Varsovie, toutes les « rue Varsovie » répertoriées en France, et ailleurs, et le sentiment qui en découle. 

Atelier BÔ

4bis rue Veillon, 06000 Nice

8 au 17 juin 2019

13h – 18h / dimanche 10h – 12h

Sandra Najem expose

Ça prend aux tripes et donne du vague à l’âme !

Cette exposition inaugure un sujet très ouvert, celui de la relation entre le cerveau et les intestins, ce « deuxième cerveau », et plus largement, entre la pensée et le sensible, l’intérieur et l’extérieur, en convoquant la topologie.

Festival International de Mandoline de Castellar

  • 26 au 29 juillet 2017

Dans le cadre du spectacle Charlotte, le pré aux boutons d’or, Sandra Najem présente une installation dans la salle du Palais Lascaris intitulée Passages et Plis.

Elle vous invite à découvrir sa façon d’interroger son identité féminine, soucieuse du temps qui passe et des transformations qu’il induit.

Elle utilise son expérience comme matériau. Ce travail fait écho à Leben ? oder Theater ?, le recueil posthume de Charlotte Salomon, qui a trouvé dans l’art sa liberté de femme.